Inceste : 4 générations vs nouvelle génération !

L’inceste est un sujet complexe et simple en même temps, pourtant il n’est pas possible de l’envisager de la même manière selon l’âge que l’on a.

Du ressenti personnel pendant l’acte aux conséquences multiples sur sa vie à long terme, de l’impact physique, psychologique au transgénérationnel, des difficultés relationnelles induites à tous les niveaux personnels, familiaux, professionnels, face à la médecine, à l’autorité, aux autres, du traumatisme au cataclysme interfamiliale à l’ouverture de la parole ou à son déni, être victimes et victimes collatérales, de manière exponentielle, l’inceste est un génocide sur les générations futures.

Alors comment aborder le sujet ?

L’anthropologue comportementaliste que je suis vous en parle autrement.

Pourquoi certaines personnes semblent attirer les relations toxiques ?

Lorsque le passé est complexe avec de la maltraitance, la capacité de discernement est bloquée par les anciens traumatismes.

Inceste, agressions sexuelles, violences physiques et morales sont des chocs traumatiques qui dérèglent le système nerveux. En apparence stable, il peut redevenir instable dans des situations de danger. Là où une personne non traumatisé dans l'enfance pourrait fuire devant une personne toxique et ne pas y revenir, une personne ayant subit un trauma de maltraitance peut se retrouver à nouveau figer devant un agresseur potentiel. 

Cette attitude ne revèle pas une folie, mais bien une activation du système nerveux et le besoin urgent de défiger pour enfin utiliser son discernement et son plein potentiel. 

L'agresseur quand à lui a également des traumatismes profond à travailler avant de pourvoir lui aussi dissocier ses actions et donc ne plus agresser personne quelque soit les circonstances.

Les traumatismes sont des fléaux que l'on peut accompagner, ne pas rester avec permet d'appaiser les relations et de revenir à des échanges plus serein, plus sain.

Prenez RDV pour en discuter et agir, ne laissez pas les traumas user votre vie.

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