Donnez aux autres pour s'aider soi-même, le lien de souffrance dans le trauma

Donnez aux plus démunies contribue à s'aider soit-même

Entre 2015 et aujourd'hui

avec l'association LE MONDE A TRAVERS UN REGARD, j'organise des groupes de paroles pour les victimes d'inceste et de pédocriminalité au Puy-en-Velay, qui se réunissent un samedi par mois pendant 4h pour discuter de leurs difficultés et de leurs réussites

avec l'association STOP AUX VIOLENCES SEXUELLES, nos débats et rencontres contribuent à l'avancée des politiques publiques de santé

en tant que vice-président de l'association STOP aux Violences Sexuelles du Rhône pour mettre en place des formations auprès de différents organismes comme l'Ordre des avocats, l'Ordre des médecins ou encore auprès de chefs d'établissement (Primaire et collège) avec la mise en place d'une Plate Forme grace à Hélène Quentin, Présidente de SVS du Rhone et Violaine Guerin, Présidente nationale

avec le secours catholique de toulouse, pour aider les gens de la rue, des échanges et de bienveillance valent de l'or.

Pourquoi donner son temps lorsque l'on a été victime ?

- parce que les victimes parlent librement entre elles, et qu'il est alors possible en regardant l'autre de voir ses forces et ses faiblesses.

- parce que les victimes trouvent de la dignité et de la force lorsqu'elles peuvent se battre pour elles et pour leur bien-être.

- parce que contribuer à changer les mentalités permettra de prendre en compte les sensibilités, et freinera les manipulations perverses et violentes. Agir dans des groupes pour faire avancer les bons comportements.

- parce que stopper le développement exponentiel des violences faites aux enfants et aux femmes est indipensable pour l'avenir de ce monde. Contribuer avec eux à tous les niveaux pour donner du soutien, du secours et agir ensuite efficacement.

- parce que certaines lois sont encore injustes et que les prescriptions pour les recevabilités des dépôts de plaintes sont des doubles-peines . L'agresseur est encore trop protégé alors que la victime portera les stigmates jusqu'à sa mort, voir même après sur les générations futures.

- pour faire changer l'opinion publique et considérer les violences comme le fléau n°1 de ce 21ème siècle.

- pour agir en fonction de ses possibilités pour un monde meilleur !